[Cartomancie] Tag Vidéo #DECKFOMO (Fear of Missing Out) – des achats trop impulsifs ?

ABH

Il n’y a pas eu de nouveauté par ici depuis un bon moment… Je suis contente de vous retrouver ! Le sujet s’est imposé à moi après le visionnage d’une vidéo sur youtube, je me suis dit « et pourquoi pas ? ». Je n’avais jamais vraiment tenté la voix off mais l’exercice me faisait envie depuis un moment – j’ai décidé de tenter !

« FOMO » est l’acronyme du terme anglais « Fear of Missing Out » ou la peur de passer « à côté » de quelque chose, de louper / manquer, donc, quelque part, d’être en « retard », d’être laissé.e derrière, etc. C’est une peur qui joue sur l’idée de manque, de ne « pas avoir assez », en se comparant à d’autres personnes.
Le tag d’origine, de April de la chaîne anglaise Tarot and Witchery reprend sept questions, que j’ai traduites, ainsi qu’une question bonus ajoutée par Old Soul Mermaid dans sa vidéo de réponse.

Les questions font un panorama de nos meilleurs / pires achats, de nos habitudes de consommation, de nos limites – de quoi faire le point sur sa collection !
Avec tout ce qui existe, les nombreuses sorties de jeux et toutes les recommandations / présentations qu’on retrouve un peu partout (même ici !), on peut vite avoir « la tête qui tourne » et se retrouver avec des paniers / wishlists / listes d’envies longue comme plusieurs bras. Du coup… Vient la question du choix. C’est un sujet qui m’intéresse énormément et je compte bien en reparler prochainement (je l’ai déjà mentionné dans mes articles commencer à se tirer les cartes / débuter en cartomancie) !

Personnellement, j’essaie de faire très attention aux jeux que j’achète / fait entrer dans ma « collection ». (Léger spoiler) J’ai actuellement 21 jeux de cartes (plus quelques précommandes) et, même si je suis loin des 100 jeux, mon but est de sélectionner les jeux les plus intéressants (pour moi !) possibles : ceux qui correspondront à mes critères, à mes valeurs et à mes goûts, à mes envies et « besoins » aussi. Je veux pouvoir les utiliser tous fréquemment, qu’ils m’apportent quelque chose et qu’il y ait une bonne communication / alchimie entre nous.

Pour ce faire… Il y a de l’attente et des recherches. Je me questionne sur mes goûts et envies, je regarde chacune des cartes avant de me lancer, je laisse décanter / maturer mon avis, j’attends de voir ce que d’autres en pensent, je m’intéresse à la qualité des cartes, au livret qui les accompagne, etc !

Je me suis rendue compte que je pouvais apprécier l’esthétique d’un jeu, ses qualités et choix sans pour autant avoir besoin de le posséder et de l’utiliser moi-même. Ce recul n’est pas toujours facile mais, souvent, je me contente de voir circuler des photos sur les réseaux.
J’ai d’ailleurs une énorme liste de jeux en vrac, dans l’optique de pouvoir conseiller d’autres personnes en fonction des thématiques / styles recherchés. J’adore parler cartes et, mieux encore : aider une personne à faire des choix et à trouver LE (ou LES) jeu(x) de cartes qui leur plaira complètement. J’aime regarder les nouvelles sorties, ouvrir des tas d’onglets, chercher des présentations, des vidéos et des images des jeux à venir, de les confronter à mes « non-négociables » et de voir ce qu’ils m’inspirent. Si vous connaissez mes précédents posts #cartocringe, vous pouvez vous douter que de nombreuses images / symboliques entraînent un veto immédiat de ma part.
J’ai aussi une liste personnelle des jeux que je trouve intéressants – celle-ci est bien plus réduite – entre mes goûts esthétiques / stylistiques précis, des symboles / images que je trouve rédhibitoires, la qualité des carnets / cartes, la présence de tranches métallisées ou non, le prix des jeux, et j’en passe, beaucoup de jeux ne résistent pas à mes pour ou contre / critères de sélections. Globalement, ce sont ces critères et ces recherches qui me permettent de limiter les dépenses / les déceptions en limitant les risques de ne pas apprécier du tout un jeu. Je sais que certaines personnes aiment être surprises mais ce n’est absolument pas mon cas.

Vous pouvez retrouver les jeux de cartes que j’ai utilisé pour illustrer la vidéo sur mon compte instagram sinon, des vidéos / revues ont été publiées ou le seront prochainement.

Tout ça pour dire que j’ai trouvé ce tag très intéressant – je vous conseille de le tenter !

(Re)découvrir Lautréamont : le mystère d’un refus

A

A l’occasion des 150 ans de sa mort (le 24 novembre 1870), retour sur l’auteur des Chants de Maldoror et des Poésies dont l’œuvre s’articule autour d’une notion clef, la contestation.


(Photographie présumée d’Isidore Ducasse. Signée Blanchard en 1867, retrouvée par Jean-Jacques Lefrère en 1977.)

I – Refus des traces

« Je ne laisserai pas des Mémoires » – Poésies I
« Je sais que mon anéantissement sera complet » – Chant I

Il faut avant tout savoir que “le comte de Lautréamont” est un nom de plume.
De son vrai nom Isidore Ducasse, il s’agit en réalité d’un jeune homme, mort à 24 ans. Il publie son œuvre majeure à 22 ans, émerge pour disparaître très rapidement – en laissant très peu d’écrits et de traces.
Nous ne savons pas ce qui aura causé sa mort, sa vie, après ses études, étant plus imaginée que connue.

Il est issu d’une famille française et né en Uruguay (dans la ville de Montevideo en 1846), il est rapidement envoyé en France pour ses études. C’est là que la légende prend le relais sur les faits, que le flou s’installe. On le dit malheureux en pensionnat, adolescent très cultivé mais en opposition avec les figures d’autorités.

II – Refus de la catégorisation

« J’établirai dans quelques lignes comment Maldoror fut bon pendant ses premières années, où il vécut heureux ; c’est fait. Il s’aperçut ensuite qu’il était né méchant : fatalité extraordinaire ! » – Chant I

Les Chants, de part leurs thèmes, vont être immédiatement censurés. Lautréamont est volontiers comparé au marquis de Sade, pourtant âgé d’une cinquantaine d’année quand il écrit Justine ou les malheurs de la vertu (première publication en 1791). Si ce dernier a peut-être permis la création de Maldoror, en faire la seule référence est réducteur : oui, il y a de la violence, de la subversion et une certaine sensualité, mais – et ce mot est important – ce n’est pas tout. Là où Justine est un feuilleton sans cesse augmenté qui porte des idées politiques et philosophiques assez fortes (autrement dit, scandaleuses), Les Chants sont avant tout un objet littéraire.

Il joue, comme d’autres avant lui, avec la littérature qui le précède : son nom de plume est une altération du célèbre Latréaumont d’Eugène Sue, un roman historique romantique. Il ironise avec les normes, mêle une forme antique (un clin d’œil à Homère) avec un vocabulaire soutenu agrémenté de… termes scientifiques. Des définitions entières sont reprises (volées, plagiés) à des ouvrages spécialisés (comme des dictionnaires, d’autres livres ou des articles de journaux, son œuvre étant un véritable collage !). Il va dans le détail, noie son lecteur avec des phrases longues, hypnotiques, fait des combinaisons incongrues.

Précisons aussi que rien n’échappe à son refus : ni la langue, ni la morale, ni les lois. Il refuse de manière presque systématique les fondements de la société, cherche à retourner et à détruire toutes les fondations sur lesquelles son lecteur est susceptible de se baser.
Son personnage dit ainsi :

« Ma poésie ne consistera qu’à attaquer, par tous les moyens, l’homme, cette bête fauve, et le Créateur, qui n’aurait pas dû engendrer une pareille vermine. » – Chant II

III – Refus de la cohérence

« Beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie. » – Chant VI

La langue peut être ou un obstacle – tout le monde ne l’apprécie ou ne la comprend pas – ou bien son tour de force. Il n’y a pas de chronologie, de véritable progression dans l’histoire, si on peut l’appeler ainsi. Des strophes en prose (poétiques) se suivent, les chants s’enchaînent, révèlent des thèmes similaires, presque en feuilletons. Le personnage est narrateur, parfois écrivain de sa propre histoire, d’autres fois écrit par un écrivain qui n’est pas nommé.

Je n’ai qu’un conseil pour aborder cette lecture : se laisser porter. Se laisser entraîner, accepter le flou, l’incompréhension ou le choc initial. Les cinq premières parties sont composées de la même façon, mais pas la dernière. On assiste à une tentative de roman, dont l’intrigue, dramatique, est proche du roman noir (dans un clin d’œil appuyé au romantisme qu’il critique et parodie).

Tenter de comprendre ses Poésies :

Il s’agit de plusieurs volets de maximes poétiques, souvent très courtes. Le style est factuel et minimal, presque sec par rapport aux Chants. Les idées qu’il y développe sont en opposition quasiment parfaite avec sa première œuvre.
Beaucoup se sont interrogés sur ce qui semble, d’un point de vue chronologique, comme un violent reniement. Publiés sous son vrai nom et plus sous pseudonyme, elles gardent seulement son aspect critique, sur la littérature notamment mais aussi sur la société. S’agit-il d’un renoncement à ses premières idées ?
En vu du peu de traces attestées le concernant, le mystère subsiste. Il y a seulement des hypothèses, qui penchent parfois vers un autre axe : et si ses Poésies avaient été pensées ou écrites avant ? Il peut aussi être question d’un jeu des contraires, d’exercices d’écriture assez stricts et cadrés, l’amenant à la rédaction de deux œuvres en miroir.
Dans un cas comme dans l’autre, une seule possibilité : accepter le paradoxe, ne pas réduire l’auteur à l’une ou à l’autre de ses créations.

Pour finir

Pour moi, le trajet, le but d’Isidore Ducasse est simple : surprendre, marquer, choquer. En m’appuyant sur le texte même, au chant VI, il est écrit que :
« Cette préface hybride a été exposée d’une manière qui ne paraîtra peut-être pas assez naturelle, en ce sens qu’elle surprend, pour ainsi dire, le lecteur, qui ne voit pas très-bien où l’on veut d’abord le conduire ; mais, ce sentiment de remarquable stupéfaction, auquel on doit généralement chercher à soustraire ceux qui passent leur temps à lire des livres ou des brochures, j’ai fait tous mes efforts pour le produire. »
Il cherche à détourner ce qui est établi, à bouleverser la littérature. Par l’humour et l’ironie, principalement. Mais aussi en passant par l’absurde ou la répétition (parfois en accumulant voir matraquant certains thèmes).

Le livre est un hybride, une création étrange et fascinante qui, ne l’oublions pas, a inspiré les surréalistes (qui le découvrent et le popularisent en 1917, soit presque cinquante ans après sa date de publication initiale) et fait toujours parler de lui.
Isidore Ducasse a su créer sa légende, est devenu un nouvel avatar du poète maudit, un sujet de fascination à part entière.

« Je suis fils de l’homme et de la femme, d’après ce qu’on m’a dit. Ça m’étonne… Je croyais être davantage. » – Chant I

Il s’agit de l’auteur sur lequel se base mon mémoire de Littérature et Création, j’espère que cet article aura su le rappeler à votre mémoire ou aura été une introduction, si possible agréable, à son œuvre.

Notre 100ème article !


Ce dessin est d’Emi, vous pourrez retrouver la version finale, en couleur, à la fin de cet article !

Nous nous retrouvons aujourd’hui pour un article spécial puisqu’il s’agit en effet de notre… 100ème article !
Nous revenons, pour l’occasion, sur quelques chiffres et images. Il y a un an et demi, nous ouvrions ce blog et, malgré des passes d’activités réduites, le voilà, notre centième article !


Voici une de nos photos « ratées » : Méla est à gauche, Emi à droite.

Pour l’occasion, un récapitulatif de nos participations à chacune :
Emi a écrit (ou co-écrit) 50 articles ; Méla 10 et Amande.. 56 !

Comme vous le savez peut-être, si vous avez déjà eu la curiosité de regarder dans la catégorie « A propos », deux d’entres nous sont sœurs – fausses jumelles de surcroît- et le troisième membre de ce trio est une amie rencontrée il y a dans les trois années de cela. Même s’il peut s’avérer compliqué de se faire une place dans un duo déjà composé et très lié, Méla a réussi à y parvenir et bien plus. C’est aussi ça, ce centième article. Un accomplissement, la célébration d’une amitié qui a su surmonter de très mauvaises situations et qui, dès le début, avait tout contre. Mais encore une fois ; nous voilà ici, toujours amies et même blogueuses !
Parce que le blog n’est pas qu’une plateforme où nous travaillons indépendamment, voici aussi le nombre d’article où au moins deux d’entres nous ont participé à l’écriture : 20 ! Cela peut sembler peu, sur une centaine, mais le chiffre reste non négligeable.


Voici une photo « coulisse » d’un de nos premiers article, notre lookbook Grunge !

Nous sommes aussi revenues sur d’autres statistiques.. Amande (sur la photo ci-dessus) est la blogueuse la plus polyvalente de notre association : elle photographie, filme, édite la plupart des photos et aide à la mise en page. Elle est aussi l’auteur d’articles très variés, que vous pouvez retrouvés en cliquant sur le tag « A » à la fin d’un de ses articles. Mais ce n’est pas tout, puisqu’elle est de plus la rédactrice de l’article possédant le plus grand nombre de photos… Avez-vous une idée, où de l’article, où du nombre ? Il s’agit de cet article qui cumule pas moins de.. 50 photos à lui seul !


Encore une, et toujours au moment d’un shooting avec Emi !

Grosse rédactrice, Emi photographie aussi, tout en se concentrant d’avantage sur les articles modes et beautés, bien que d’autres choses soient à venir la concernant -notamment par rapport aux contenus à venir de notre chaîne Youtube. C’est d’ailleurs un de ses articles qui possède le plus de j’aimes jamais atteint… 22 ! Pour cet article-ci.


Photo « volée », pendant une session de swatch.

Voici maintenant Méla, dernière -mais pas des moindres- rédactrice du blog. Bien que son nombre d’article ne soit pas très élevé, beaucoup est à venir et elle occupe tous les fronts : ses articles sont très variés, et de qualités. Elle est d’ailleurs la rédactrice des articles les plus longs (textuellement) du blog ! Pour preuve, trois de ces articles, que vous pourrez retrouver ici, et à cette adresse-ci.

Le blog passe aussi par d’autres chiffres, notamment au niveau de ses catégories, qui sont au nombre de 7 ! En voici un détail :
La catégorie « A propos », avec un unique article (une présentation mise à jour de nous trois); « Beauté » avec 65 articles (on voit bien où se concentre nos principaux centres d’intérêts !); « DIY » avec (pour le moment) 4 tutoriels; « Lifestyle » avec 3 articles; la catégorie « Loisirs » qui en compte 4; « Mode », pour un total de 16 puis enfin « Revue de Site » (nos conseils, avis et expériences sur diverses boutiques en ligne) qui en compte 6.
Même si beaucoup d’articles sont en brouillons ou « à faire », la catégorie beauté l’emporte clairement sur le reste ! Sans tomber dans un cliché sexiste, je dirais juste que nous sommes effectivement plus portées sur le maquillage !

Mais le blog possède d’autres chiffres, plus évidents cette fois-ci :
En un an et demi et 100 articles, nous avons donc recueillie : 725 j’aimes, 69 commentaires, et 57 abonné(e)s ❤ !
Le nombre de j’aime est tout simplement astronomique ! Oui, certains articles sont peu aimés (voir pas du tout, pour au moins trois d’entre eux) mais, ensemble, le chiffre est véritablement incroyable ! Alors oui, cela peut paraître cliché ou convenu, mais… Merci. Vous faîtes aussi parti de cette aventure, de ce blog (peut-être même de notre chaîne Youtube aussi !) et un mot vous reviens. Sans vos retours (ou votre simple présence), le blog n’aurait pas lieu d’être. Même si nous aimons écrire, un texte sans lecteur ne vit pas ; il n’a ni utilité ni même sens.
C’est donc pour cela que nous souhaitions vous remercier d’être là, que ce soit pour quelques articles ou depuis le début,

Merci !

Pour finir, nous souhaitions vous révéler quelques autres petits faits, « mineurs » : notre article le plus commenté est un de nos premiers. Il compte 7 messages, et est disponible ici.
Les articles préférés d’Emi sont « Boho Dazzle », « Look #3 : Witchy Vibes » et « Ce qui a éclairé ce mois – Aout 2016 ».
Méla, elle, a aimé le « Look #5 : School Days », « La Palette Warm Lights d’Elsamakeup X Sponjac » et « La Palette « Naked Chocolate » de Makeup Revolution ».
Enfin, Amande a pour article préférés notre « Lookbook #1 : Grunge », le shooting « Bunny Love » et surtout de futurs Favoris (vidéos et articles) qu’elle a aimé écrire, préparer, filmer et surtout, monter !).

Avez-vous des attentes ou envies pour nos prochains articles ou vidéos ? Dîtes-nous tout !


Urban Decay Vice Lipstick « Blackmail »

A

Je vous ai précédemment parlé d’un autre rouge à lèvre d’Urban Decay, ici, et des points communs entre les deux gammes, voici aujourd’hui ma revue sur une des teintes de la collection « Vice Lipstick », qu’il me tarde de tester plus en profondeur ! En effet, cette collection regroupe une centaine de teintes et six finis différents (Sheer, Sheer Shimmer, Cream, Mega Matte, Metallized, Comfort Matte), et il ne va pas sans dire que j’ai flashé sur une bonne dizaine de teintes ! Outre le fait qu’il y en a définitivement pour tous les goûts, je tiens à souligner qu’ils ne coûtent que 19€ l’unité (chez Sephora, et à 18€50 sur le site d’Urban Decay )! Leurs prédécesseurs issu de la collaboration avec Gwen Stefani étaient initialement à 22€50 ! La marque est aussi cruelty-free, ce que je ne rappelle peut-être pas assez ? Je suis en tout cas séduite et, un produit si bien fait et d’une bonne qualité (j’en reparlerais plus bas mais, niveau packaging et pigmentation, il y a du lourd !), pour ce prix, ça m’intéresse clairement ! Après, je sais que le prix peut malgré tout être un frein et pour moi aussi, d’ailleurs, sortir 19€ pour un rouge à lèvre peut paraître excessif, mais, pour les points cités et à venir, je trouve qu’ils les vaillent (qui sait si avec un code de réduction ou des prochaines soldes, on ne peut pas les avoir pour moins ?) !
Je n’ai pas choisie la teinte dont je vais vous parler puisqu’on me l’a offerte, mais je n’en suis pas moins séduite : « Blackmail » de la gamme « Comfort Matte ». Mat, oui, mais donc ni totalement (un très léger côté crémeux) ni desséchant pour les lèvres.

Le packaging est fait en deux parties : un long capuchon taupe-argenté (rappelant une cartouche d’arme) à effet miroir ciselé (le tube n’est pas parfaitement lisse) , prenant la quasi totalité du produit et un léger socle doré. Il est très similaire au packaging de la collection de rouge à lèvre de la marque avec Gwen Stefani, mais, à mon goût, un peu moins esthétique – mais pas moins qualitatif ! Les initiales de la marque sont aussi gravés dessus. J’aurais préféré que l’ouverture soit aimantée et que le système protège d’avantage les raisins des rouges à lèvres qui, bien que neufs, ont tendance à être légèrement abîmés – ou bien suis-je juste malchanceuse ?

La teinte est à mi-chemin entre le marron et le violet sombre, avec des sous-tonds si sombres qu’il pourraient sembler noir. La teinte est néanmoins bien plus claire, plutôt acajou-aubergine.
Bien pigmenté, le produit nécessite cependant une seconde touche pour que la couleur soit parfaitement uniforme.

Etant issu de la gamme « Comfort Mat », ce rouge à lèvre n’est pas parfaitement mat et même peut-être légèrement crémeux. Il se révèle très agréable à porter et assez mat pour combler l’addict que je suis – sans que cela ne nuise à mes lèvres !
Résistant de plus à un repas en s’affadissant légèrement au milieu des lèvres et prenant une teinte plus cranberry, « Blackmail » a une bonne tenue (surtout pour une teinte aussi sombre) !
Passons désormais aux photos, qui seront plus efficaces que mes mots pour vous présenter la teinte unique de ce rouge à lèvre !

Que pensez-vous de la gamme ? Et de la teinte ?
D’autres revue sur les Vice Lipstick sont à venir !