Découverte : « 9Neuf »

A & E

Aujourd’hui, nous vous parlons d’une enseigne assez peu connue que nous avons découverte par hasard : 9Neuf !
Possédant une vingtaine de magasins en France mais pas d’e-shop, la boutique regroupe beaucoup d’articles, de tout styles, ce qui nous fait penser que chacune peut trouver de quoi se satisfaire, en cherchant un peu. Ils ont un site internet ici, où vous pouvez en apprendre plus sur eux et trouver le magasin le plus proche de chez vous. La boutique que nous avons découverte se trouve à Herblay.
En plus d’un choix de vêtement assez large, il y avait dans notre boutique plus de sept petites allées de chaussures, à bas prix, de toutes sortes ou presque ! Nous n’avons pas tout de suite trouvé de quoi nous combler, mais, après une petite demie-heure, certains articles avaient réussis à attirer notre attention, les prix étant toujours très raisonnables.
Un aperçu de nos paniers :


Trois articles ici : une chemise bordeaux pour 15€, un short taille haute à 18€ et, pour finir, une veste moumoute noire à 10€ ! [ E ]
Les vêtements, portés :

Ensuite, une paire de chaussure, jolie et dans la tendance, puisque l’on peut retrouver ce genre de chaussures a peu près partout, mais pour le double du prix au moins, que j’ai payée 17€ ! [ A ]

9Neuf propose des pièces originales (comme le montre le premier panier !), uniques et à prix doux ! Après plusieurs lavages, rien n’a bougé, et les articles sont bien taillés (fait rare !), ce qui nous as même un peu surprise.

Connaissiez-vous cette enseigne ? Allez-vous peut-être y faire un tour ? Si vous avez des questions, n’hésitez pas !

John Green : un auteur qui fait rêver

M

Bonjour, nous nous retrouvons aujourd’hui avec le premier article littéraire. C’est également mon premier article « en solo » alors je suis fière de vous le présenter. Comme l’indique le titre, nous allons parler de John Green un auteur qui a été connu à l’âge de vingt-cinq ans avec son tout premier roman « Qui-es tu Alaska » en 2005. Il fut rendu célèbre par son Best-seller récemment adapté au cinéma : « Nos Etoiles Contraires » qui a été assez critiqué et discuté. Nous n’allons donc pas parler de ce livre qui a engendré de nombreux débats : on aime ou pas. Chacun a le droit d’avoir sa propre opinion sur la chose.

Cet auteur a une manière d’écrire bien particulière que je ne retrouve que chez lui. Il faut s’habituer à son style, mais une fois qu’on l’a accepté et si cela nous convient, il est difficile de s’en défaire. Il parvient à faire naître en nous toutes sortes d’émotions plus étonnantes les une que les autres. On se retrouve pris dans un ouragan de sentiments. La plupart des personnages sont des jeunes de notre âge ce qui nous amène à rapidement nous y attacher. Ils possèdent chacun un caractère bien précis et vivent des vies singulières, ce sont des situations dans lesquelles nous pourrions nous retrouver tous les jours même si les histoires racontées ensuite sont surprenantes, étonnantes, extravagantes, extraordinaires ou bien même fantastiques. Il y a pourtant toujours ce côté terre à terre caché dans ces belles rencontres : le message est clair, nous n’avons qu’une vie, nous en connaissons les dangers, à nous d’apprendre à la vivre à fond. Il est impossible d’oublier les nombreux thèmes repris par tant d’autres avant lui : l’amitié, l’amour, la souffrance, la mort… Mais aussi des plus récents et moins utilisés tels que l’homosexualité, la différence, la dépression, la maladie qui n’en sont pas moins discutés. Malgré ces avertissements qui ressemble de près à des contraintes, nous n’en ressentons nullement le poids durant la lecture et nous survolons avec rapidité les pages pour savoir la suite. L’intrigue est palpitante, attirante, on se prend vite au jeu quitte à ne plus lâcher notre bouquin avant la fin. Et n’allez pas croire que tous ces livres sont tristes et inutiles, loin de là !
Le contexte lui même nous semble familier après à peine quelques chapitres : des villes, des lycées, des familles,des amis, des rencontres, des disputes… En bref, avec John Green, on ne lit pas ; on vit. L’auteur l’a bien compris, pour aimer, il faut pouvoir nous identifier aux personnages, nous placer à ses côtés sans avoir d’effort particulier à faire : tout doit se passer naturellement, nous ne devons même pas nous en rendre compte. C’est ce qui fait l’originalité de ces livres et on a toujours un petit pincement au cœur après avoir tourné la dernière page. On ressort réellement changé de la lecture de ces romans, plus que des histoires de jeunes, ce sont de véritables leçons de vies, une quête de sens infinie, des expériences humaines que chacun pourrait avoir à mener dans un futur plus ou moins proche.

Les principaux romans écrits par l’auteur sont les suivants :
* Looking for Alaska (« Qui es-tu Alaska ? »), paru en 2005. C’est son premier roman. Il porte déjà sur l’adolescence et le sens que chacun donne à sa vie.
* An Abundance of Katherines (« Le Théorème des Katherines »), paru en 2006 qui raconte la vie atypique de Colin, un jeune qui est sorti dix-neuf fois avec des filles. Seule ombre au tableau, toutes s’appelaient Katherine et toutes ont fini par le quitter. L’auteur nous fais découvrir une utilisation subtile des mathématiques… Il viendrait presque à nous les faire aimer.
* Paper Towns (« La Face cachée de Margo »), la traduction exacte étant « Les villes de papier » dont il est question dans le roman, paru en 2008. L’auteur nous emmène dans un style tout à fait différent, une sorte de road-trip, une enquête passionnante, entourée de mystère et mise en scène par le personnage de Margo. On est tenu par l’intrigue jusqu’à la fin du roman, vivant les émotions en même temps que les personnages. La promesse d’une aventure remplie d’éclats de rire et de suspense.
* Let it snow (« Flocons d’amour »), paru la même année en coopération avec Maureen Johnson et Lauren Myracle. Dans une petite ville perdue, tous les rêves se réalisent. Les amitiés et les amours sont au rendez-vous. Tous les personnages sont liés, une évasion dans un autre monde.
* Will Grayson, Will Grayson (« Will et Will »), paru en 2010 et écrit en duo avec David Levithan. Les deux héros du livre se nomment Will Grayson et je dois vous avouer que cela est un peu surprenant au début, surtout lorsqu’on ne s’y attend pas. Malgré tout, on s’y fait et la réussite est au rendez-vous avec des désillusions, des relations fortes qu’elles soient en amour ou en amitié. Bien plus qu’un simple livre, c’est un cri pour la tolérance et l’acceptation de soi.
* The Fault in Our Stars (« Nos étoiles contraires »), paru en 2012, c’est le dernier roman de John Green – pour le moment. Une véritable histoire d’amour vécue par deux jeunes gens à l’humour (parfois noir) et au destin tragique pour qui tout n’est pas toujours rose et qui pourtant profitent pleinement de la vie : bien plus que beaucoup à qui tout sourit. Une histoire qui nous fait ressentir qu’on ne maîtrise pas toujours tout mais qu’il va bien falloir finir par l’accepter, qui donne envie de vivre à fond comme jamais.

Ainsi, avec eux, j’ai ris, d’ailleurs, je ne saurais dire le nombre de fois où j’ai été prise de fous rires seule devant mon livre (eh oui, même si cela peut paraître ridicule, il est parfois difficile de se contrôler), j’ai pleuré (et pas que de rire cette fois…), j’ai vécu, j’ai vu, j’ai pensé mais surtout, j’ai rêvé et j’ai aimé. Je suis souvent ressortie bouleversée de mes lectures, chacune d’entre elle m’a marquée et m’a permis de changer un peu plus, de comprendre un peu mieux.

Je suis totalement fan de cet auteur (comme si vous ne l’aviez pas remarqué !) et vous, avez vous déjà lu un de ses romans? Qu’en avez-vous pensé ? N’hésitez pas à commenter, que vos avis soit positifs ou négatifs, cela fait toujours plaisir et je me ferais une joie de vous répondre !

Les Babylips Dr Rescue

Nous revoilà avec un nouvel article, de nous trois cette fois, à propos de la nouvelle gamme française de Babylips : Dr Rescue !

Cette gamme se compose de trois teintes -enfin la gamme française, dont une transparente, nommées respectivement Too Cool, Just Peachy et Pink me up – comme leurs noms le suggèrent, une teinte plus pêche et une rose ; nous avons eu un coup de coeur pour celle-ci qui est un rose doux qui sait se faire discret en apportant en même temps un peu de couleur pour un maquillage léger. Ils sont censés être plus hydratants encore que leurs prédécesseurs, réparant et apaisant vos lèvres. Parfumés à l’eucalyptus ou au menthol mais ne piquant pas (laissant une agréable sensation de fraîcheur avec une bonne odeur), leur durée de conservation est estimée à 24 mois, ce qui, quand on s’en sert régulièrement, peut difficilement poser problème. Ils se trouvent assez facilement, les collections étant souvent complètes vu le petit nombre de teintes. On les trouve généralement à 3-4€.


De gauche à droite : Too Cool, Just Peachy, Pink me up.

Vendus comme des « pansements à lèvres », ces babylips offrent une sensation agréable de fraîcheur à l’application qui ne perdure pas, la teinte quant à elle est toujours modulable en fonction des couches appliquées et tient assez bien -mais ne résiste pas à un repas, comme la plupart des baumes. Voici les swatch des teintes colorées :

De gauche à droite : Just Peachy, Pink me up.

Maybelline en parle ici. Sur leur site, on peut lire qu’ils sont censés être des « soins médicamenteux » qui doivent « rafraîchir les lèvres gercées » et « combattre la sécheresse ». Cependant, ils n’ont de médicamenteux que le nom. On y retrouve de l’eucalyptus qui donne cette odeur relative au soin mais ils ne soignent pas les lèvres : ils les entretiennent.
Nous avons trouvés que ceux-ci étaient plus réparateurs que les babylips normaux, ils rendent les lèvres plus douces mais le changement n’est pas visible après une journée d’application ! La promesse des 12h de tenue n’est malheureusement pas au rendez-vous… Ils sont plus résistants que leurs prédécesseurs dans ce domaine : environ 8h, soit la promesse de ses grands frères, ce qui n’est pas si mal en tant que tel, mais mensonger dans ce cas. On reste malgré tout sur une note positive, ce sont sûrement LES sticks à lèvres de l’hiver avec leur teintes douces, leur odeur agréable ainsi que leur efficacité qui les élève en soin quotidien d’entretien parfait.

Voici les rendus, portés :


Le Just Peachy.

Le Pink me up.

Nous espérons que cet article aura répondu à vos éventuelles questions mais si ce n’est pas le cas, posez-les nous en commentaire !
Vos avis sur ces nouveaux Babylips ?

La palette « Mermaids VS Unicorns » de Makeup Revolution

A

Parler de cette marque risque de devenir une habitude, mais vu les prix et les produits proposés, je ne peut simplement pas m’en empêcher ! Nous allons aujourd’hui parler d’une autre palette à 4€95 : La Mermaids VS Unicorns ! Elle est disponible sur le site Maquillalia, sa référence étant MURREDMVU. Si vous ne l’avez pas encore vu -ce qui m’étonnerais, mais dans le doute, revoilà le lien, nous en avons déjà parlé ici. Quand j’ai vu cette palette pour la première fois, je n’ai pensé qu’une chose : il me la faut ! Le prix étant un argument en lui même, quand j’ai eu l’opportunité de commander, elle a fait parti de mon panier.

La palette est, comme ces consoeurs de la gamme, composée de 12 couleurs et d’un pinceau mousse à double embout. Basée sur l’opposition sirènes-licornes, elle propose deux parties : des verts et bleus assez clairs, puis des teintes plus violacées-bleu nuit. De très jolies couleurs qui m’attirent tout particulièrement, ce qui, au fils du temps, se remarquera sans doute ! Passons au swatch, avec, pour commencer, les six couleurs côté « Mermaids » :

Toutes assez « shimmers », elles sont bien pigmentées et peuvent sans aucun doute s’allier en un smoky assez doux mais très bleu.
On passe à la suite, avec les six derniers fards, plus sombres :

Ils sont eux aussi composés de micro-paillettes voir de paillettes pour certains, les teintes ne formant cette fois plus un camaïeu mais un ensemble de violets et de bleus-noirs bien sympathique mais peut-être un peu « sombre » pour représenter le côté licorne de la palette ? Les couleurs n’en restent pas moins très jolies pour moi, et s’utilisent assez simplement, les couleurs sombres étant évidemment plus visibles que les claires sur la paupière.
Pour terminer, voilà quelques photos d’un maquillage tout simple mais qui me semble tout de même assez joli, que l’on peut réaliser en mélangeant la plupart des couleurs de la partie sirène sur l’ensemble de la paupière mobile et avec du violet dans le creux :


Voilà, c’est ici que s’achève cet article, sur cette palette qui m’a énormément plu, une très belle découverte, puis une bonne raison de porter du vert ! Si vous avez la moindre interrogation, je suis là.

Haul Primark

A & E

Coucou ! Nous revoilà pour un article « mode », un retour sur nos achats au magasin Primark, assez connu mais malheureusement peu présent en France (5 magasins seulement, dont trois sur la région parisienne). Pour essayer de trouver le magasin le plus proche, vous pouvez aller ici, le nôtre étant celui-ci. Il n’existe pas de système de vente en ligne, mais nous pouvons toujours espérer que ce soit le cas un jour !
Cette enseigne utilise de grands espaces et propose énormément d’articles; vêtements hommes, femmes, enfants, des chaussures, et même des produits pour la maison. Ils vendent à bas prix, allant parfois jusqu’à la vingtaine d’euros l’article, mais restant bien en dessous des prix proposés ailleurs. Il faut savoir que quand vous y allez, vous risquez de repartir avec plusieurs sacs pleins et, à force, une addition assez salée !
Leurs soldes sont aussi attractives, mais nous n’avons pas pu en profiter pendant les mois derniers, notre emploi du temps ne nous le permettant pas. Sachez que ces magasins sont bien souvent bondés (et même quand ils ne le sont pas, il y a de la bousculade et de la queue aux caisses !), seul vrai point négatif pour moi, mais en même temps, avec de tels services, il faut bien s’y attendre !
Les échanges et remboursements sont à priori possibles, il suffirait pour cela de faire la queue aux caisses avec l’article en question, la facture et le mode de payement utilisé (notamment pour la carte bleue), voici ce qu’ils en disent : « Nous proposons un remboursement intégral ou un échange à tous les clients munis d’un ticket de caisse valide et qui en font la demande dans les 28 jours suivant l’achat, à condition que l’article soit retourné sans avoir été porté ni utilisé et que les étiquettes d’origine y soient encore fixées. Certains produits ne peuvent être ni échangés, ni remboursés, notamment les sous-vêtements, les bijoux ou les produits de beauté. Cette liste n’est pas exhaustive et n’affecte pas vos droits à garantie ». Pour en savoir plus, c’est ici.

Nous avons, pour cette fois, fait attention à ne pas multiplier les achats (qui, pour ma part, peuvent s’avérer décevant après coup, ne faisant pas bien attention sur le moment à l’utilité ou ma véritable envie d’acquérir telle ou telle chose) et surtout à surveiller les tailles ! Ils proposent en effet des tailles anglaises, françaises et pour enfants, mais gardent les mêmes couleurs d’étiquettes pour des tailles parfois opposées (femmes-enfants, par exemple). Il faut aussi savoir que, comme partout, il peut y avoir des erreurs de tailles, cependant, vous pouvez essayer les articles -bien que je ne me sois encore jamais aventurée dans leurs cabines d’essayages.

Passons donc à nos achats !


Mon panier s’élève à 37 euros et est constitué d’une brosse à cheveux rectangulaire à 2€, une paire de slippers argentées « à écailles » affichée à 6€, des baskets à plateformes blanches pour 9€, un short taille haute pour 13€, un débardeur long vert à 3€ puis un pantalon-legging noir en réductions à 4€. [ A ]


Pour ma part, j’ai acheté pour 40€50; une jupe à 4€, des collants à 6€, un t-shirt imprimé pour 3€, une palette dont je reparlerais bientôt à 3€50, un t-shirt Nirvana payé 10€, un collier à trois rangs pour 3€ puis un sac en bandoulière à 11€.
[
E ]

C’est tout pour cet article, mais s’il vous reste des questions, nous sommes là ! Connaissiez-vous ce magasin ?

La palette « Essential Shimmers» de Makeup Revolution

A

Une fois encore, je vous parle d’une palette qui ne coûte rien -ou presque !- de Makeup Revolution (commandée sur Maquillalia, un article en rapport par ). La marque propose toute une gamme de palette de ce genre-là, les « Iconics » (il en existe quatre) ou les « Essential » (quatre aussi) ainsi que d’autres, affichées au même prix et ayant le même packaging.
Cette palette est trouvable sur le site pour 4€95 (!), sa référence étant 13330REDPESSS.

Elle contient douze ombres à paupières, toutes « shimmers », donc irisées, restant dans des teintes assez douces, entre le cuivré et le doré, presque nude pour certaines. La palette possède aussi un grand pinceau mousse à double-embout. La boîte en elle-même est solide, mais peut rayer, étant en plastique. Toutes les teintes se combinent facilement et se travaillent bien, même si les fards sont assez poudreux.
Voilà les photos, en suivant l’ordre de la palette, la première partie des swatchs correspondant aux six premières ombres, l’autre, aux dernières :


La pigmentation est bonne, mais les tonalités sont assez discrètes en elles-mêmes donc parfois peu visible sur les paupières.
Un exemple d’un maquillage fait avec, très simple, en mélangeant plusieurs couleurs, du clair sur la paupière mobile et des teintes de marron dans le creux et le coin externe de la paupière, le résultat n’étant malgré les couches pas très voyant, donc idéal pour tout les jours !

Voilà, c’est tout pour cette palette, mais nous devrions reparler de ces consœurs dans quelques temps, si vous avez des questions, nous sommes là !

« Bang bang » de Makeup Revolution

A

Coucou ! Me revoilà avec, de nouveau -et pas pour la dernière fois !, un produit de la marque Makeup Revolution.

Voici donc la palette « Bang Bang » de la marque Makeup Revolution, achetée sur Maquillalia (on en parle ici !) pour 3€25 (sa référence : MURBAKEBAB). Il existe quatre autres teintes : Pure and Innocent, Chocolate Deluxe, Electric Dreams, Beyond Eden, chaque palette formant un camaïeu de nuances à priori facilement combinable et parfait en smoky.

Bang Bang est composée de cinq teintes assez sombres; blanc, gris sombre, noir, argent et un bleu foncé. Ce sont des ombres à paupières cuites, toutes pailletées. La pigmentation varie selon l’outil utilisé : en effet, au doigt, on prélève assez peu de matière (surtout au début, les fards étant assez compacts), au pinceau, d’avantage, mais les couleurs ressortent mieux sur des embouts mousses. Après, nous ne les avons pas testées humides, c’est peut-être une piste à creuser !
Les swatchs, au doigt et secs; la première rangée (vers la gauche) puis la seconde (à la suite, donc) :

Je lui trouve aussi une certaine ressemblance avec d’autres palettes de Bourjois. Peut-être pas jusqu’à en faire un dupe, mais pour moi, il y a tout de même un petit quelque chose, avec les palettes Smoky Eyes « Gris Party » (à 14€95) et Eye Pearls « Creative » (issue de leur collection de Noël 2011), dont voici des photos :

Ne les possédant pas, je me base surtout sur le packaging et les couleurs utilisées, si vous avez l’une ou l’autre, n’hésitez pas à me donner votre avis !

Passons maintenant à la mise en pratique, avec un maquillage qu’Emi a réalisé sur moi :


Comme vous pouvez le voir, les couleurs grises/argents sont celles que l’on voit le plus, même si du bleu à aussi été utilisé. Bang Bang est aussi très pailletée, ce qui, je trouve, est parfait pour un maquillage de nuit/fêtes, même s’il peut y avoir des chutes au moment de l’application.

Voilà, c’est ici que se termine cet article, si vous avez la moindre question, n’hésitez pas !

Palette « Give Them Nightmares » de Makeup Revolution

A

Vous ne connaissez pas encore mon addiction à la marque Makeup Revolution, mais je pense que ça va venir ! Voici une des palettes commandées lors de la première commande Maquillalia (dont cet article parle), la Give Them Nightmares, que j’ai reçu à Noël. Vous pouvez la retrouver sur le site pour 7€99 (sa référence : MURSALVNIG).

Outre l’emballage cartonné, juste démentiel et son titre, la palette est solide, assez sobre. Mon seul éventuel reproche ? J’aurais adoré retrouver le dessin de l’emballage sur la palette, mais, à vrai dire, ce n’est pas si important que cela.
Quand on l’ouvre, on trouve un pinceau ayant deux embouts mousses, une petite feuille transparente avec les noms des couleurs et un grand miroir. Cependant, le partie supérieur de la palette ne tient pas debout, ce qui peut être handicapant quand on se sert du miroir pour se maquiller.

Cette palette comporte 18 couleurs, les 6 rondes étant mates. Pour rester dans la thématique imposée par son nom, les couleurs utilisées sont des nuances de violets, verts, bleus et noirs. Les 12 autres teintes sont censées être pailletées, même si trois des couleurs pailletées le sont beaucoup moins que les autres (Danger Coming, Pretty Zombie, The Night). Un autre point fort de cette palette : les noms des couleurs, très bien choisi. Ensuite vient la pigmentation, pas mauvaise, même plutôt pas mal, mais avec plusieurs rendus : des fards plus « poudreux », ensuite plus crémeux puis mates, le tout correspondant presque à chaque rangée.

Première rangée :


De gauche à droite : Who’s There?, Danger Coming, Lethal, Pretty Zombie, Bump in The Night, Poisonous.

Who’s There? est un lie-de-vin bruni et satiné. Sa texture est un peu poudreuse mais facilement estompable.
Danger Coming est un bleu marine possédant des reflets bleus et violets. Plus crémeux que le précédent il est très pigmenté ce qui le rend plus difficile à travailler.
Lethal est, quant à lui, un vert sapin possédant de nombreux reflets argentés et verts plus clairs lui donnant presque un air satiné mais est malheureusement bien moins pigmenté, son rendu étant beaucoup plus clair une fois appliqué.
Pretty Zombie est un violet à reflets bleus. Assez pâle à l’application, il faut avoir la main lourde pour lui rendre sa teinte d’origine.
Bump In The Night se rapproche d’un noir tant il est sombre mais est un violet à sous-tons bleus qui se trouve être plus bleu que violet une fois swatché. Bien pigmenté, comme toutes les teintes bleutées de la palette, il reste tâchant et est compliqué à estomper.
Poisonous est un noir pailleté argenté qui apparaît gris-vert sur la main. Il est assez peu pigmenté.

Deuxième rangée :

De gauche à droite : Lawless, The Hunger, I Am Watching You, Beyond The Night, Wicked, Friday 13th.

Lawless est un violet métallique assez sombre, pas très bien pigmenté.
The Hunger est un vert-bronze satiné, bien pigmenté dont la teinte varie avec la lumière, mais reste très jolie et fidèle à ce que l’on pouvait en attendre.
I Am Watching You possède une teinte violette sombre ayant de léger reflets bleus/violets. Sa pigmentation est très bonne et il reste assez simple à estomper.
Beyond The Night est un noir pailleté argent qui au contraire du Poisonous ne change pas de couleur une fois appliqué et est assez bien pigmenté.
Wicked se trouve être un vert émeraude légèrement sombre et irisé. Moyennement pigmenté, il s’estompe sans difficultés.
Friday 13th est LE noir de la palette, parfaitement pigmenté et bien coloré. Il est très légèrement irisé et est très agréable à travailler. Il reste mon noir préféré et un de mes coups de cœur de cette palette !

Troisième rangée :

De gauche à droite : White Noise, Elm St, Ash, Boo, Depravity, Darkness.

Cette dernière rangée est composée de fards mates, dont White Noise, la seule teinte blanche de la palette, qui n’est pas très pigmentée mais reste une jolie teinte.
Elm St est gris-vert assez bien pigmenté.
Ash, quant à lui, est un bleu indigo très très pigmenté qui s’estompe moyennement bien.
Boo est un noir violacé bien pigmenté facilement estompable.
Depravity (comme certains produits à lèvres de la même marque !) est un violet vif peu uniforme mais assez bien pigmenté.
L’ultime ombre s’intitule Darkness, un beau noir bien pigmenté mais moins coloré que Friday 13th mais peut-être plus aisé à estomper.

Voici un exemple de maquillage que l’on peut faire avec :

Voilà, je suis contente de vous avoir présentée cette palette qui m’a énormément plût, si vous avez la moindre question à son propos -ou autre !- je suis là.

ELF

A

Maquillalia

Ce mois-ci, il y a eu pas mal de commandes, et me voilà à vous parler de notre deuxième commande sur le site ELF (Eyes Lips Face) ! Celui-ci est assez connu (surtout pour sa gamme essentielle, que nous avons testée) et, à force d’en entendre parler, nous avons décidé de commander (tout en invitant des amies à commander avec nous pour partager les frais de port). Le site étant en français, il n’y a pas eu de problèmes, -à part rassembler les listes de tout ce petit monde !- et en plus, pour Noël, il y a eu de super packs (par exemple, trois paires de faux-cils différentes pour 1€, au lieu d’1€ l’une –ce qui est déjà pas mal- !). A vrai dire, nous avons surtout été attirées par leurs fameux pinceaux à 1€ pièce. Non, ce n’est pas un rêve, des pinceaux, des vrais, à seulement un euro, une petite pièce ! Bon, il n’y a pas que cela, mais nous avons tenu à en tester quelques uns, et j’ai même réussie à me préparer toute une commande (assez bien remplie) pour 10 euros, pas mal, non ! En tout cas, me concernant, c’est un véritable exploit. Les catégories sont assez claires et aident bien, le seul bémol étant que certains articles n’apparaissent pas dans ces dernières –juste dans le bandeau « Vous aimerez aussi » sous la fiche d’un produit- et qu’il faut creuser pour les trouver. Tout est simple, jusqu’à la commande. En point négatif, les frais de ports qui, à mon goût, sont assez chers (≅4€) par rapport aux prix des articles -commander à plusieurs pourrait être une solution. Colis arrivé à la maison en moins de quatre jours, le tout accompagné de réductions et d’un petit catalogue pour nous présenter d’autres produits.

Notre verdict : Un site proposant plusieurs gammes de produit, leur gamme essentielle étant de qualité, ce qui nous as pas mal surprises, malgré plusieurs revues et avis favorables, nous nous attendions tout de même à trouver à redire ou bien à justifier le prix par une qualité moyenne, ou juste pour le prix, ce qui n’a même pas été le cas ! D’ailleurs, pour leurs pinceaux, je me demande quelle peut être la différence entre la gamme essentielle et la gamme studio –si ce n’est 2-3€ et le packaging.. Pourquoi payer plus cher un autre produit ayant les mêmes capacités ? N’ayant pas trop testée les deux autres gammes (une prochaine fois ?) nous n’avons rien à en dire, même si je ne pense pas qu’il y en ait véritablement besoin, les revues sur ce site étant à mon avis assez simples à trouver.

Une autre commande ? Du coup, oui, si possible ! N’ayant testé qu’un échantillonnage restreint de leurs produits, il faudra bien plusieurs fois pour avoir un avis d’ensemble, mais, pour la gamme essentielle, c’est tout bon !

Edit : Depuis la rédaction de cet article, nous avons effectué une autre commande, reçue hier matin !

N’hésitez surtout pas à commenter ou à nous poser des questions !

Maquillalia

A

Maquillalia

Après avoir entendu des avis positifs sur le site internet espagnol Maquillalia , nous avons décidés de nous lancer. Nous voici donc à arpenter le site, bien compartimenté en de nombreuses catégories, ce qui ne suffit malheureusement pas toujours vu le nombre d’articles (je regrette le manque de filtres, notamment pour des fourchettes de prix). Déjà, si vous ne parlez pas un seul mot d’espagnol, où n’avez pas à porté de main un bon traducteur (pas spécialement google traduction, donc), la commande -en elle-même, au moment de renseigner les champs- sera plus complexe (même en suivant des cours d’espagnol, il nous a fallut s’aider d’un dico pour certains mots relatif à la commande et au suivi de celle-ci). Oui, le site, même en version française, est assez mal traduit, ce qui, finalement, est le point le plus négatif que j’ai pu lui trouver.
L’e-shop rassemble beaucoup de produits de marques différentes (dont Essence, Makeup Revolution, Sleek, etc), parfois même moins chères que dans les magasins proches (palette Celestial I-divine de Sleek plus chère de 2-3€ chez Sephora !). La commande se fait simplement, comme sur n’importe quelle autre plateforme ou presque –à quelques mots espagnols près. Celle-ci mets plusieurs semaines à arriver d’Espagne en périodes de fêtes. Nous l’avons reçue en à peine deux, le plus long ayant été l’acheminement de celle-ci du sud de la France jusqu’à chez nous (les frais de port étant gratuit au-delà de 60€, nous n’avons pas eu à en payer). Cependant, bonne nouvelle, elle ne mets que trois-quatre jours à nous parvenir le reste de l’année !
Tout les articles y étaient –avec quelques bonus (un sachet de bonbon !)- et étaient bien emballés, pour la plupart en très bon état (quelques rayures sur le couvercle en plastique transparent d’une palette, mais rien de bien grave).
Quelques temps après, un petit email du site pour nous demander de répondre à un questionnaire, toujours très polis. Là, il faut évidemment quelques connaissances en Espagnol -ou un bon traducteur-, même plus que pour le reste, à vrai dire.

Bilan : Très positif, malgré le petit problème de la langue, qui, heureusement, se fait vite oublier.

Re-commanderons-nous ? Sûrement, il y a des produits très sympas, et j’ai –personnellement- déjà fait des repérages !

Edit : Aujourd’hui, l’article ne datant pas d’hier, nous en sommes à notre troisième commande, et sommes toutes satisfaites du site, qui propose de plus en plus de produits !

Si vous avez des questions -ou besoin de conseils pour commander-, n’hésitez pas, nous sommes là pour ça.